Véronique Falzon, 1000 / 1000 au Certificat Voltaire

Elle a obtenu la note maximale au Certificat Voltaire, elle raconte ! Véronique Falzon s’est expatriée aux Pays-Bas. Elle travaille dans l’un des tribunaux internationaux de La Haye. Elle s’est préparée au Certificat Voltaire essentiellement grâce au site du Projet Voltaire. Pour réussir l’épreuve, elle conseille avant tout de ne pas appréhender l’orthographe et la grammaire.

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Pouvez-vous vous présenter ?

Mon parcours à la base, c’étaient des études de langues en anglais et après des études de français langue étrangère et je travaille maintenant pour un des tribunaux internationaux de la Haye.

Comment avez-vous découvert le Projet Voltaire ?

Comme Je fais beaucoup de corrections, je fais beaucoup de recherches de langue, et ça doit être comme ça que je suis tombée dessus. J’ai trouvé ça intéressant. Je me suis inscrite, et j’ai commencé à pratiquer sur un module à l’époque.

Vous avez ensuite suivi une formation de formateurs en orthographe…

Je me suis inscrite et je l’ai faite début juillet. Il fallait passer le certificat. Donc je me suis dit : je vais faire tout en bloc.

Avec quels outils vous êtes-vous préparée au Certificat Voltaire ?

Alors essentiellement le site parce que je trouve qu’il y a tout. Le site contient tout. Ce que je faisais, c’est que je terminais un module, je le recommençais… et même quand je répondais bien, je relisais à chaque fois l’explication grammaticale qu’il y avait derrière. Je me suis fait beaucoup de moyens mnémotechniques. Il y en a beaucoup sur le site, ça aide, j’ai travaillé aussi avec ça.

Lors de la formation, j’ai eu un livre. C’était Optimiser son score au Certificat Voltaire. Mais je m’en suis servie après la formation, quand vraiment je voulais venir sur des points très précis. Là, j’ouvrais le livre et je regardais.

Quels sont vos conseils pour le jour J ?

S’entraîner si possible tous les jours. Si pas tous les jours, au moins trois fois par semaine. On oublie trop vite sinon. Lire aussi. Je pense que ce qui est bien, au même moment où l’on fait l’entraînement, c’est de lire, et de lire en se rappelant ce qu’on a vu dans l’entraînement, parce que tout à coup, il y a beaucoup de choses qui apparaissent. Et ne pas avoir peur de la grammaire ou de l’orthographe, ne pas voir ça comme quelque chose de rébarbatif.

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