École de communication SUP’ DE COM – Retour d’expérience sur le Projet Voltaire

Depuis combien de temps connaissez-vous le Projet Voltaire? Comment l’avez-vous connu ?
Henri RivollierNous avons testé le Projet Voltaire lors de la dernière année universitaire sur une seule promotion, celle de nos étudiants en 1re année de BTS Communication.
C’est au départ une élève qui nous a parlé du Projet Voltaire.

Pourquoi avez-vous choisi de travailler avec le Projet Voltaire ?
École de communication, nous formons les communicants de demain. C’est dire que ceux-ci se doivent d’être exemplaires en matière de maîtrise du français, et notamment de l’orthographe. Or, la génération actuelle d’étudiants a d’énormes lacunes en la matière. Le Projet Voltaire nous est apparu comme un outil pertinent et ne demandant pas une infrastructure trop lourde.

Comment avez-vous utilisé le Projet Voltaire au sein de votre établissement ? Pour quels publics ? À quelle fréquence ? Avec quels objectifs ?
Nous avons fait le choix d’utiliser le Projet Voltaire sur toutes nos promotions, de Bac+2 à Bac+5, car les lacunes sont malheureusement à tous les niveaux d’études. Nous l’avons intégré à la pédagogie. Dès le début d’année, nos étudiants passent le test d’évaluation, et bon nombre d’entre eux sont surpris des « mauvais » résultats qu’ils obtiennent à  ce test, mais cela a un effet motivant.
Ensuite les étudiants sont invités à travailler personnellement en e-learning, ce que nous pouvons suivre facilement grâce aux outils de suivi qui existent. Chaque semestre une note « Voltaire » est intégrée à leurs résultats semestriels, qui est calculée selon deux critères : le temps passé en e-learning et la progression obtenue.
En fin d’année, les classes de fin de cycle passent la Certification Voltaire.

Quel retour avez-vous eu des utilisateurs ?
Les utilisateurs sont satisfaits. Le e-learning a un petit côté ludique qui plaît bien à cette génération.

Qu’est-ce que cela vous a apporté ?
Indiscutablement, de belles progressions. À titre d’exemple, une étudiante qui lors de l’évaluation de départ maîtrisait le français à 40 % est passée à 100 % au bout de 4 h 30 d’exercices en ligne. Et puis, il y a les passionnés, comme cette autre étudiante qui a passé plus de 14 heures à s’entraîner…

Que diriez-vous à une personne qui n’a jamais travaillé avec le Projet Voltaire, pour lui donner envie de l’essayer ?
Le Projet Voltaire lui permettra – à son rythme et quel que soit son niveau de départ – de progresser.

Un mot pour qualifier le Projet Voltaire, une phrase pour conclure ?
Efficace.

Henri RIVOLLIER
Directeur des programmes
École de Communication SUP’ DE COM

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