École Sup’ La Mache, Lyon – Retour d’expérience sur le Projet Voltaire

Aurélie Philbert, responsable du pôle pédagogique à l’école Sup’La Mache nous explique pourquoi ce centre de formation utilise le Projet Voltaire.

Ecole SUP la Mache, le premier apprentissage est celui du métier d'hommeInitialement, j’ai connu le Projet Voltaire au journal télévisé il y a quelques années ; le principe m’avait beaucoup plu sans aller plus loin.

À mon arrivée au centre de formation Sup’ La Mache, j’ai pu constater que le niveau de français, et notamment en orthographe, était particulièrement faible chez les jeunes de 18 à 26 ans issus de domaines techniques. Il m’a paru important d’agir et c’est à ce moment que j’ai pensé au fameux reportage vu quelques années plus tôt.

J’ai donc pris contact avec le Projet Voltaire afin d’en savoir un peu plus sur le fonctionnement, les tarifs, etc. Nous avons ensuite décidé de mettre en place ce dispositif sur toutes les formations en alternance où cela était possible.

Les jeunes n’ont d’abord pas été très enthousiastes à l’idée de travailler sur l’orthographe, mais tous reconnaissaient qu’il y avait un vrai besoin. Depuis, un suivi est fait chaque mois sur leur avancée pédagogique ; certaines formations sont agrémentées de cours de français, mais cela reste rare. Les élèvent travaillent en autodidacte sur le logiciel, à distance.

Il s’agit de notre première année d’essai ; nous attendons la fin de l’année pour nous prononcer mais, pour le moment, tout se passe très bien. Les entreprises, notamment, sont ravies que nous sensibilisions leurs futurs collaborateurs sur ce sujet.

Ce qui est important, c’est que chacun prenne conscience de l’importance du français, et pour cela, je peux déjà vous confirmer que l’idée est passée auprès de nombreux étudiants.

Les équipes du Projet Voltaire sont toujours très réactives, ce qui est particulièrement agréable.

Pour conclure, grâce au Projet Voltaire, Sup’ La Mache propose aux entreprises des étudiants toujours plus compétents. Nous vous en remercions.

 

Aurélie PHILBERT

Responsable du Pôle Pédagogique – Chargée de Communication

Sup’ La Mache – Lyon

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    La langue anglaise nourrit la langue française depuis toujours, de la même manière que la langue française enrichit la langue anglaise. Ce serait dommage de vouloir nous séparer de cette importante partie de notre vocabulaire français qui est d’origine anglaise.