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Renzo Alvarado Ruiz de Castilla : « On voit les résultats sur les copies »

Depuis 2014, le groupe scolaire de l’Assomption (Bondy) propose des modules du Projet Voltaire à ses élèves, en collège et en lycée. Renzo Alvarado Ruiz de Castilla, enseignant, témoigne.

Depuis quand utilisez-vous les solutions du Projet Voltaire ?

C’est depuis 2014 que nous utilisons le Projet Voltaire. On l’utilise de la sixième jusqu’en première.

Comment utilisez-vous les solutions ?

Pour ce qui est du module Orthographe très précisément, on lance le module en cours, c’est-à-dire que l’on réserve une première heure, notamment au collège, entre la sixième et la troisième. À partir de la quatrième jusqu’en première, ce sont des séances un peu plus libres. C’est-à-dire qu’on laisse d’abord les élèves se connecter à la maison une première fois. En principe pour Orthographe et pour Expression, on fait des évaluations courtes, c’est-à-dire qu’ils les font à la maison.

Qu’en pensent les élèves ?

Mon sentiment, c’est qu’ils l’apprécient. Ils voient les résultats, nous les voyons aussi. On les voit d’abord sur les évaluations proposées sur le Projet Voltaire, mais on finit par les voir aussi sur les copies.

Pourquoi faire passer le Certificat Voltaire à vos élèves ?

Nos élèves ont la chance d’avoir un compte sur le Projet Voltaire de la sixième jusqu’en première. Ils ont amélioré leur niveau d’orthographe et d’expression, mais après ? Pour nous, en tout cas, il était évident que toutes ces années d’entraînement devaient aboutir à une certification. Notre intérêt, et l’intérêt des élèves, est qu’ils aient la certification Voltaire au moment où les inscriptions sur Parcoursup commencent.

Comment utilisez-vous l’outil Mon Oral ?

On construit la grille ensemble avec les critères sur lesquels ils vont être évalués et ensuite, je donne la consigne et je leur demande soit de me déposer sur leur espace Projet Voltaire un enregistrement vidéo ou un enregistrement audio et ensuite c’est moi qui valide. C’est pour ce module que j’ai proposé une petite formation à mes collègues de terminale. Ils ont tous été très enthousiastes, ils se sont dit : « Oui, c’est vraiment ce qu’on veut proposer à nos élèves parce que c’est très précis et puis, nous enseignants, ça nous fait gagner du temps. »

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