Paris’Com Sup utilise le Projet Voltaire

Paris’Com Sup, établissement d’enseignement supérieur, utilise les solutions du Projet Voltaire. Les étudiants passent par ailleurs le Certificat Voltaire en fin de cursus. Le Projet Voltaire a recueilli les témoignages de Margot Homère et Valentin Samson, étudiants, ainsi que ceux de Dulce Naamane, formatrice, et Antoine Caylou, assistant pédagogique.

Pourquoi avoir choisi les solutions du Projet Voltaire ?

Dulce Naamane – Nous avons deux grandes filières : tout ce qui est commerce, management et la communication. On a les deux filières et c’est très important que nos étudiants puissent s’exprimer à l’oral et aussi à l’écrit correctement.

Antoine Caylou – On a un effectif entre les 350 et 400 étudiants. Ils sont tous concernés.

Dulce Naamane – On cherchait une solution qui puisse être facile et pédagogique à utiliser. pour nos étudiants.

Antoine Caylou – On a le parcours Orthographe, on a le parcours Expression et on est vraiment sur ce module entraînement. et ensuite passage de la certification avec l’examen.

Qu’en pensent les étudiants ?

Margot Homère – Avant d’intégrer Paris’Com Sup, j’étais déjà à l’université. C’était quelque chose qui était imposé par notre établissement.

Valentin Samson – Je sais que je l’ai fait une fois en seconde, mais c’était pendant le confinement. Du coup, le retrouver ici en première et deuxième année, ça m’a fait beaucoup avancer également sur le vocabulaire et la grammaire.

Pourquoi la maîtrise du français est-elle importante dans les métiers de la communication ?

Antoine Caylou – On ne peut qu’insister là-dessus. On ne fait que ça de toute façon au fur et à mesure des semaines… Insister sur la bonne prise de parole à l’oral, le vocabulaire, l’expression écrite.

Valentin Samson – C’est vraiment nécessaire dans notre profession future d’avoir cette formation Projet Voltaire.

Margot Homère – Avoir une bonne maîtrise de la langue, c’est un plus. Ça peut même apporter des points bonus, ça peut faire la différence en tout cas sur une présentation.

Constatez-vous des progrès ?

Valentin Samson – Dans les devoirs que je rends, moi personnellement, on me fait beaucoup moins de remarques par rapport à l’orthographe, comparé à : primaire, collège, lycée. Je sais que je faisais beaucoup la faute entre le « est », le « es » quand il y a le « tu », et le « ai ». Cette faute-là, vraiment, je la faisais tout le temps et maintenant, c’est fini.

Margot Homère – Par exemple, « parmi », je mettais un « s » avant et en fait, avec Projet Voltaire, j’ai appris qu’il n’y avait pas de « s » à « parmi », ça m’a choquée.

Valentin Samson – Je me pose moins de questions. Je vérifie quand même le texte au cas où… Mais en écrivant, comme ça, je réfléchis directement dans ma tête à la règle qui doit être mise en place.

Que pensez-vous de la solution ?

Margot Homère – Je trouve que c’est une plateforme assez simple à utiliser.

Valentin Samson – Dès que tu maîtrises, t’es trop content, après, quand tu écris un mail, parce que tu sais que c’est bon, il n’y a pas de faute.

Antoine Caylou – Le côté ludique du Projet Voltaire, c’est ce qui passe le mieux. Quand ils arrivent sur l’outil en lui-même, ils le prennent assez bien en main. Ils sont vraiment dans cette idée… C’est ludique, ça clique. On y va. On passe les niveaux.

Margot Homère – Je trouve que Projet Voltaire c’est un beau programme qui devrait être, je pense, obligatoire dans les établissements.

Comment se passe l’entraînement ?

Valentin Samson – Je sais qu’ils nous ont mis le vendredi, de 17h à 18h, l’heure de Voltaire. Du coup, chaque semaine à cette heure-là, on est tous dans la salle, tous connectés.

Antoine Caylou – On met en place un atelier d’art oratoire avec un partenaire qui s’appelle Graine d’Orateur 93. Ça vient prendre le relais sur la partie vraiment opérationnelle et pratique de l’expression. Donc ça fonctionne effectivement très bien avec le Projet Voltaire, cette initiative-là.

Les étudiants passent le Certificat Voltaire…

Antoine Caylou – La certification, elle intervient au moment de l’année diplômante, donc en deuxième année de BTS. On est vraiment dans cet esprit : prise en main de l’outil Voltaire sur la première année, entraînement, et puis préparation à la certification en deuxième année.

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