Défense de la langue française (DLF) et l’Académie française

Défense de la langue française (DLF) est une association française dont le siège social se situe à Paris.

Fondée en 1958, elle est la continuation et l’extension du « Cercle de presse Richelieu » créé par Paul Camus en 1954 en vue d’enrayer la dégradation de la langue dans la presse.

L’association s’est donné pour mission la défense et le rayonnement de la langue française sur le plan national et international, et la défense du droit des citoyens français de pouvoir s’exprimer dans leur langue maternelle dans tous les actes de leur vie quotidienne comme la loi le prévoit. Son président est Jean Dutourd, écrivain, membre de l’Académie française.

Elle publie une revue trimestrielle du même nom.

Elle soutient l’innovation linguistique afin de stimuler la langue française contre les anglicismes et participe à ce titre à l’introduction de néologismes adéquats.

La paternité de cette présentation claire et précise est à attribuer à l’auteur de cet article sur Wikipédia :

http://fr.wikipedia.org/wiki/D%C3%A9fense_de_la_langue_fran%C3%A7aise

 

DLF fait un accueil favorable à la Certification Voltaire :

http://www.langue-francaise.org/Articles_Dossiers/Actua_honneur_235.php

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    Bonjour Clara, voici ce que Le Petit Robert indique à « retour » : « Retour d’expérience : analyse critique, leçon que l’on tire d’une expérience. ? restitution. ABSOLT Faire un retour sur qqch. » Bonne journée.

Bonjour.Je suis inquiet d’entendre en permanence l ‘expression EN FAIT dans toutes les conversations.C’est une intoxication qui parfois remplace un mot sur trois,surtout chez les jeunes.Que faire? Merci

Je combats les anglicismes de plus en plus nombreux qui alourdissent et enlaidissent notre belle langue si belle, si agréable à l’oreille, si fluide ! Un nouveau terme à la mode a fait son apparition CROWDFOUNDING : je propose MÉCÉNAT POUR TOUS, qui connaîtra un large succès . Quand pensez-vous ? Pouvez-vous me servir de relais auprès de l’Académie française . La lutte pour préserver le français est rude , mais ne baissons pas les bras !